Une jeune, brillante et séduisante étudiante en histoire de l’art, décidée à écrire sa thèse sur la relation entre la drogue et la créativité artistique, découvre par la même occasion l’existence d’un Modigliani perdu ; elle décide de se lancer sur ses traces, entraînant derrière elle une série de personnages hétéroclites : des peintres, talentueux et méconnus, en colère contre le mercantilisme du marché de l’art ; des faussaires, des négociants d’art peu scrupuleux et un jeune propriétaire de galerie d’art, acculé au désespoir, vont se croiser, s’entrecroiser, sur les routes de France, d’Angleterre ou d’Italie du sud !
Mon avis
Ceux qui me connaissent bien le savent, je suis une inconditionnelle de Follett, qui est un de mes auteurs préférés. Pourtant, pour le coup, j'ai été un peu déçue.
J'avais trouvée intéressante la préface, dans laquelle l'auteur revient des années après sur ses intentions lorsqu'il a écrit ce livre (qui a été publié en 1976).
L'idée d'une incursion dans le monde de l'art me plaisait beaucoup. Mais je n'ai pas vraiment accroché, et principalement pour une raison : les personnages. Follett m'avait habituée à bien plus de profondeur et de subtilité, là, j'avais l'impression d'avoir un recueil de caricatures, avec baffes qui se perdent à la clé.
J'ai trouvé le tout trop convenu, absurde, jusqu'aux décisions des personnages qui n'avaient aucun sens pour moi. Bref, pas un Follett à marquer d'une pierre blanche.
J'ai trouvé le tout trop convenu, absurde, jusqu'aux décisions des personnages qui n'avaient aucun sens pour moi. Bref, pas un Follett à marquer d'une pierre blanche.